Bla bla

Jeanne Mas

Ah, cette bonne vieille Jeanne!

Bon, je n’ai pas du tout pensé à elle en faisant ce nail art mais je me suis bien amusée quand-même!

Je voulais absolument du rouge, et puis du noir et puis j’ai cherché longtemps avant d’arriver à faire ce que je voulais, rien ne m’allait, le scotch m’a lâchée, bref, c’était la misère et  bien sûr… ON VA TOUS MOURIR!

Donc, pour faire cette chose un peu punk, il faut bien l’avouer, il vous faudra :

un vernis rouge, un vernis noir, du scotch et de la patience (et du doigté et du timing et une pince à épiler).

Donc une bonne base de rouge, deux couches pour moi, puis on place des bandes de scotch à intervalle plus ou moins égal. On passe une couche de noir, on retire le scotch avec la pince à épiler, et on attend bien longtemps avant de passer du top coat, sinon ça bave!

Les Stars : OPI An Affair in Red Square et Essie Liquorice.

 

Ps : Tout ça, c’est la faute de Pshiiit!

Et je veux une bague moustache!!

 

La journée du pois

Donc, après la recette avec des petits pois, je vous propose la manucure à pois!

L’instant est historique : je suis dans les débuts du nail art et je n’avais jamais osé faire des pois.
Rappellons aussi que je n’ai pas de matériel. En farfouillant sur le net, je suis tombée sur des suggestions de détournement de matériel pour faire des pois. Tête de thon (dont je viens de dévorer le blog) parlait d’épingles à cheveux. Testé, pas approuvé. C’est trop inégal. C’est sur un tuto de Tartofraise que j’ai trouvé mon bonheur : une tête d’épingle!

Ainsi donc, j’ai utilisé une base OPI (start to finish, pas sur la photo), un rose layette très naturel dont je ne connais pas le nom (je pense que c’est le Crewed Interest de Essie), un rose très soutenu (Watermelon, Essie) et une base pour french manucure (Herôme, Natural Nail Whitener).

J’ai d’abord posé le rose pâle, puis le vernis Herôme. Cela m’a permis d’obtenir une base bien lisse, en laissant mon bord libre visible. Le vernis Herôme donne un reflet bleuté qui accentue le bord libre et qui donne de la profondeur à la plaque unguéale. Je voulais une base qui fasse « faux-ongles » sans faire rose Barbie. J’ai ensuite fait les pois avec la tête d’épingle et le rose soutenu. Enfin, une seconde couche d’OPI pour fixer le tout.

Le début, c’est galère 2

Hello à toutes (oui, je suppose que même si j’ai des lecteurs masculins, cela ne les intéresse pas de lire un article complètement Chichi Pompon!) (remarquez l’audace dont je fais preuve : je suppute même que j’ai des lecteurs!).

Donc, aujourd’hui, dans les débuts nail art d’une pas douée des doigts, la forme des ongles. Une question me taraude : comment on fait pour déterminer quelle forme va avec quels doigts??!
Après une longue et fastidieuse recherche sur le net, il s’avère qu’on fait plus ou moins  ce qu’on veut et que la seule véritable règle est de respecter la structure et la forme naturelle de son ongle pour que cela reste harmonieux.

Alors en ce qui me concerne, voilà ma main :

Comme vous le voyez, j’ai des doigts, au nombre de 5 par mains, plutôt longs. J’ai aussi une grande paume. Bon, en fait, je suis un singe : j’ai de grandes extrémités par rapport à la hauteur ridiculement basse de mon individu. Donc, j’ai de grandes mains. Et, ce qui se voit moins : elles sont grosses. Si si, j’ai de gros doigts, y a qu’à voir : je ne trouve JAMAIS de bague à ma taille dans les bagues en vrac. Et, humiliation suprême, pour les gants de moto, je dois prendre un modèle pour homme : tous les modèles pour femmes jolis, à fleu-fleurs, roses et avec paillettes et strass sont trop petits. TOUS!

Donc, je suis dotée de grandes et grosses mains, avec des ongles d’une taille acceptable par rapport aux mains. Donc en gros, j’ai de grands ongles, relativement larges. De façon naturelle, je dirais qu’ils poussent de façon ovale voire arrondie et que je les coupe de façon à arrondir les angles.

Ma main droite est légèrement différente de ma main gauche. Comme je m’en sers plus, les ongles poussent un peu différemment, les doigts y sont moins harmonieux et les ongles ont tendance à casser plus vite et à pousser moins vite.

J’adore les ongles longs, donc je n’envisage pas de les avoir courts. En plus, je trouve que ça me boudine la main.

Je dirais donc que la forme naturelle de mon ongle est entre l’amande et l’ovale.

Tenshi No Hana, toujours elle, a produit un descriptif très détaillé et très clair sur la forme de vos ongles et la façon de les limer. Qu’elle soit bénie entre toutes les femmes!

Et voici une photo de mes ongles à nus, pour bien voir leur forme et leur longueur.

Voilà!

Le début, c’est galère 1

Bonjour,

Comme pour toute activité, le début du nail art est quelque peu…compliqué. D’abord, on est envieux/se des gens qui y arrivent si bien. Et puis on se dit qu’on y arrivera jamais. Enfin, on cesse de geindre et on se lance.

J’ai constaté que sur la blogosphère beauté, le blog vient quand une certaine maitrise existe, quand les résultats sont montrables. C’est, certes, très joli à voir mais ça peut aussi décourager les débutantes, comme moi. Comme j’ai déjà un blog depuis longtemps et que je n’ai pas peur du ridicule, j’ai décidé de montrer mes débuts, afin, si possible, d’encourager toutes celles qui n’osent pas et se disent que ce n’est pas pour elles.

Aussi, je trouvais intéressant de faire le point sur la situation de départ de mes ongles. Aussi, j’encourage toutes les débutantes à faire de même : sans savoir d’où on part, impossible de déterminer où on va!

Donc je pars avec un « bon » capital de départ : j’ai des ongles qui poussent vite et sans trop casser. Ils sont plutôt forts au départ, je n’ai aucun problème d’ongles mous. Par contre, comme je les porte volontiers longs, ils ont tendance à se fendiller sur les côtés, surtout les pouces! Pour remédier à ça, je portais déjà souvent une base fortifiante.
Que les choses soient dites : nous ne sommes pas égales devant la manucure! La force des ongles dépend de votre constitution et est souvent liée à la force de vos cheveux. Il existe des compléments alimentaires spécifiques pour cheveux donc ongles, qui renforcent la kératine, matière principale de ces deux matériaux organiques.
Si vous avez tout essayé, pas de chance, il faudra se rabattre sur des soins externes, qui gainent l’ongle et forment un genre d’exo-squelette qui vous permettront d’obtenir des ongles plus résistants.

Revenons donc à nos moutons et à mon point de départ.

Donc, j’ai des ongles plutôt facile à porter parce qu’ils tiennent bien. Ils poussent vite, aussi. Et j’ai l’habitude de me mettre du vernis simple depuis des années. J’ai des périodes avec et des périodes sans mais le geste ne m’est pas inconnu :). Par contre, j’ai toujours une main plus ratée, puisque je sois droitière. Je récupère donc mes bourdes avec des cotton-tiges imbibés de dissolvant avec acétone (rhaaaaa oui, je sais, c’est horrible).

Je n’ai AUCUNE routine beauté pour mes ongles, ni même pour ma peau. Je sais C’EST MAAAAAAAAAAL! Mais voyez-vous, j’ai un naturel fantasque et peu résistant à l’ennui. Rien que le mot « routine beauté » m’ennuie, me fait bailler, bref, me fait fuir!
Et là, je vais vous dire un truc qui ferait bondir n’importe quelle fille soucieuse de ses ongles : je DETESTE me limer les ongles (oui, je sais, je ne devrais pas dire ça sans prévenir les âmes sensibles!). Alors je coupe. Sauvagement, au coupe-ongles, même pas aux ciseaux (mes ongles sont trop durs pour ça!). Je ne lime que le résultat fini, avec le plus petit grain possible.

Est ce que je suis douée en dessin? Non, pas du tout.
Est ce que je suis ambidextre? Non, pas du tout, du tout.
Est ce que je suis prête à débourser des fortunes en matériel? Non, pas du tout, du tout, du tout.

Alors je commence avec quoi? Avec une envie de m’amuser, avec une vernithèque essentiellement composée de rouges, roses et violets. J’ai laissé tomber les vernis de grande surface depuis que j’ai découvert MAC, Mavala et surtout OPI. En ce qui concerne le matériel de dessin, je n’ai strictement rien! J’ai donc décidé de détourner des objets de la vie courante  et j’ai rassemblé du scotch, des cure-dent et des piques à brochettes ainsi que d’aguilles à coudre. Tout ce petit matériel est allé rejoindre ma boite à ongles pour y être utilisé.

Voilà, ça, c’était moi, il y a 3 semaines.
A l’occasion, je vous montrerai mes ongles nus.

Romantisme et porcelaine

Hello!

Aujourd’hui, un petit nail art dont j’ignorais qu’il allait me plaire autant, même si j’ai eu du mal à le faire.

J’ai choisi ce motif sur le site de Naturel Nails by Tenshi No Hana, dont les nail art, s’ils sont peu nombreux, me laissent toujours pantoise tellement ils sont fins, sobres et chics.

Ce motif avait l’air compliqué à faire mais avec un peu de patience, on arrive à tout.

Voici donc ce modèle de petites roses, que j’ai choisi d’associer à un beige grisé soutenu et chaleureux de chez Essie.

 

N’est ce pas joli?

Je trouve le rendu à la fois chic et romantique. Il reste discret donc est parfaitement portable en toute circonstance y compris au travail, même si ce critère est le cadet de mes soucis.

J’ai utilisé 4 vernis Essie et un cure dent pour faire les motifs.
Base : Chinchilly : un beige grisé soutenu et chaleureux, qui s’accorde bien avec la couleur de ma peau.
Roses : Blanc et Watermelon. Même mal mélangés, le rendu reste joli, cela donne du relief aux fleurs qui sont rarement toutes identiques dans la nature.
Feuilles : Mint Candy Appel. C’est un vernis que j’ai du mal à imaginer seul sur mes ongles mais qui fait de très jolies ajoutes sur les différents nail arts que je me fais.

(La photo ne rend pas justice au rose, qui semble moins orangé en vrai. Il est en fait plus rouge).

Comment faire? Appliquez votre base si vous en utilisez une puis votre couleur de base. J’en ai mis 3 fines couches, pour avoir un beau rendu laqué. Quand c’est bien sec, préparez votre matériel : les deux vernis qui feront le coeur et la couleur de la fleurs et un cure-dent (ou un dotting-tool, pour celles qui en ont un!). Posez une petite goutte de chaque couleur, l’une à côté de l’autre, sur votre ongle. Ensuite, tournez, touillez légèrement dans la couleur, afin de les mélanger. Attention, ayez la main légère parce qu’il faut éviter de faire des « trous » dans la couche de vernis. Si votre rose vous parait trop fade, attendez quelques instants que le vernis sèche, puis rajoutez une toute petite goutte de couleur et recommencez à tourner.
Quand vous avez obtenu le résultat que vous souhaitiez, répetez l’opération pour chaque fleur.
Quand vous avez fini le coeur de vos fleurs, tournez votre cure-dent et utilisez le bout propre de celui-ci. Plongez le dans la couleur verte et servez vous en parallèlement à l’ongle, pour créer de petits traits verts, représentant les feuilles.

Et maintenant, pourquoi porcelaine? Parce que ce dessin me fait penser aux petites fleurs que l’on trouve sur les vieux services en porcelaine que l’on trouve chez tous les brocanteurs!

EDIT : Cette manucure a tenu du feu de dieu! Donc, en mettant du top coat une fois tous les deux jours au boulot, j’ai tenu ce nail art 7 jours!! Au bout du 7ème jour, seul mon pouce gauche était abimé sur les bords et, évidemment, on voyait une bonne grosse repousse. N’allez pas croire que je suis la princesse au petit pois, pendant ces 7 jours, j’ai vécu et beaucoup tapé à l’ordinateur.

Beauty box

Parce que je ne suis pas qu’une dépressive boulimique, je vais te parler aujourd’hui de la folie des boites beautés qui a pris le net d’assaut voici quelques mois, Sylvie.

Etant toujours en retard d’une guerre mais néanmoins très sensible à la pub et au packaging, j’ai mis un temps avant de succomber…et puis j’ai chu! Donc, je me suis commandé quelques Beauty Boxes. Alors pourquoi cette marque là et pas une autre, va-t’en savoir… Mais voilà, mon premier amour fut cette Beauty Box.

J’en ai reçu 6 avant qu’un problème bancaire ne m’offre l’occasion d’aller voguer vers d’autres boites à trésors.

Je peux te dire, Sylvie, qu’au bout de 6 mois d’utilisation, je suis ra-vie. Les produits sont de qualités, les quantités sont appréciables et je suis vraiment enchantée de recevoir cette petite boite rose poudrée qui me sert à présent de boite à rangement.

Je te parlerai plus tard de tout ce que j’ai reçu, mes tops et mes flops, photos à l’appui.

Comme je te le disais, j’ai à présent changé de fournisseur et j’attends avec impatience ma nouvelle Joliebox, prévue pour le mois d’avril!

Bref, Sylvie, si tu as trop d’argent et trop de place dans ta salle de bain, comme moi, je te recommande ce genre de futilité essentielle!

Kamo VS Yoom : deux cuisines asiatiques, deux capitales, deux additions et ton estomac!

Hello!

Et bien pour mon retour (grand ou pas, nous verrons plus tard, Sylvie, je vais te parler de bouffe. Non parce que je sais pas si tu as remarqué, mais j’aime bien manger. Et même qu’avec le temps, la sagesse et le raffinement qui l’accompagnent, j’ai même appris à aimer BIEN manger. Donc, j’ai été o-bli-gée (tu m’entends? sous la torture!) d’aller au restaurant.

J’ai donc testé Yoom à Paris, n’écoutant que mon courage et mon instinct de survie. Bon, quitte à tester un resto, j’ai testé un resto spécialisé en dim-sum (dumplings en englishe), un de mes nombreux vices pêchés-mignons.  Et bien j’ai été déçue. La déco du resto est très chouette, avec des couleurs rappellant l’empire du fils du ciel. Les assiettes, esprit post-communisme-chantons-tous-en-choeur-la-gloire-de-Mao-dans-le-soleil-couchant, m’ont particulièrement tapé dans l’oeil. Par contre, côté cuisine… Quelle déception. Je ne sais pas si ce sont de véritables dim-sum à la chinoise ou si ce sont des dim-sum occidentalisés, mais moi, j’ai pas aimé. Sans saveur, sans surprise, bref plat. Par contre, l’addition, elle n’était pas plate…Et j’avais encore faim!

Je te mets des photos quand-même parce que bon, je suis pas chienne!

N’écoutant que mon bon coeur (et mon estomac vide), j’ai aussi testé Kamo, à Bruxelles cette fois. La surprise, fut, là, parfaitement au rendez-vous. Ce resto, minuscule avec vue sur les cuisines, fait découvrir à tes papilles des arômes et des textures jusque là encore inédits. Si je m’écoutais, je deviendrais poètesse, tellement c’était bon. Comme je sens que je ferais rougir Ronsard dans sa tombe si je me mettais à faire des rimes, je me contenterai de dire que j’ai mangé des poissons d’une fraicheur extraordinaire, du canard et du ris de veau d’un fondant inégalé et que la présentation n’avait strictement rien a envier au goût. Du coup, j’en ai même oublié de faire des photos, même si on ne vient vraiment pas là pour le cadre!  Pour ton estomac, je te recommande sincèrement Kamo. Pour ton banquier, non 🙂

Hidden

Ma couverture, ma couche, mon doudou, ma pelure, ma carapace, mon gras, mon armure, mon costume de scène, mon rempart, ma cachette, mon trou, mon gouffre, mon labyrinthe, mon piège.

 

Contre quoi?

Essie tu crois un jour que tu m’aimes…

Je savais que j’étais girly, j’irais même jusqu’à dire que j’étais vraiment fifille. J’aime les paillettes, le rose, le maquillage, les chaussures, les sacs. Bref; j’avais tous les symptomes.

TOUS? Non! UN symptome résistait encore et toujours à l’envahisseur.

LE NAIL ART! (explosion de paillettes, feux d’artifices, pétales de roses, flonflons z’et clochettes).

Heureusement, j’ai vaincu.

J’ai utilisé Liquorice de Essie et  Queen of Beauty  de Sinful Colors. Et un petit bling, sinon c’est pas drôle.

 

 

NAMM (Note à moi-même) : Faire des photos en lumière naturelle et avec un meilleur décor!

 

Scanneuse

Comme une caisse enregistreuse.

Je veux tout savoir…mais rien en profondeur. J’ai 12 idées de recherches par heure et bien évidemment, j’oublie. Et comme je sais que j’oublie, je me fustige. Alors je note.

Mais je me désintéresse aussitôt de mes notes.

Ca tourne trop vite, là haut.